Mon bentô du 7 octobre
7 10 2009Riz aux anchois
Maquereau grillé
St-jacques au miso et au wakame
Potiron “confit”
Dés d’emmenthal
Roquette
Catégories : bentô
bentô, bento
Riz aux anchois
Maquereau grillé
St-jacques au miso et au wakame
Potiron “confit”
Dés d’emmenthal
Roquette
Gyûdon (boeuf aux oignons sur riz)
Dashimaki tamago (omelette au dashi)
Beni shôga (gingembre en saumure)
Bryan Talbot en dédicace à Arkham ce mardi 19 mai
Le dessinateur Georges Jeanty (Buffy season 8) sera en dédicace ce samedi 3 novembre à la librairie Arkham.
A l’occasion de la sortie du film Control, Agnès B. organisait le 12 septembre le vernissage d’une expo photo consacrée à Joy Division suivi d’un concert au Gibus.
Passage donc à la boutique Agnès B. qui très vite me met mal à l’aise. Quelques photos de Ian Curtis avec ses fringues de prolo sont perdues au milieu de pulls et chemises à 150€. L’apparence de la plupart des visiteurs renforce cette oxymore et je quitte rapidement cet environnement branché-bcbg.
Le Gibus se remplit péniblement d’un mélange de goths et de ce que j’imagine être le lectorat jeune de Philippe Manoeuvre. Le concert démarre à 22h passées après une interminable série de remixes post-punk malheureux.
Je découvre ce groupe “cold-wave expérimentale”. Leur musique est plutôt monotone, répétitive. Sur la scène, le duo n’est pas très dynamique . Je reste léthargique et le public ne s’enthousiasme guère plus. Peut-être plutôt de la musique de soirée que de concert.
Frustration débute vers 23h, je sais que je devrai partir avant la fin et ça gâche le plaisir de les voir. La sono n’est pas terrible mais le public est réceptif au post-punk énergique des Frustration. “On The Rise” semble le morceau qui sucite le plus de réaction des fans qui font bien remuer les premiers rangs.
Le départ me laisse insatisfait. Insatisfait de manquer les derniers morceaux -peut-être des nouveaux, de surcroit.
Et insatisfait que Joy Division ait pu servir de prétexte à un happening publicitaire pour une marque de fringues onéreuses .
Avec un peu de retard sur teh medias, je relaye la renaissance d’Arrêt sur Images sur l’interweb.
L’expérience est osée car pour accéder à la substantifique moelle d’ASI, il faudra s’abonner. On peut d’ores et déjà s’abonner au site final qui au passage ne sera prêt que dans 2700 heures. Original ! Original aussi l’abonnement à prix réduit et le statut “d’ami radin” qui contre motivation permet un accès gratuit.
On retrouve des rédacteurs et chroniqueurs de l’ancienne émission : David Abiker, Judith Bernard, Maja Neskovic… Quant à la forme du contenu, il s’agit pour l’instant d’articles illustrés de vidéos. On devrait y retrouver plus tard des dossiers ou des sujets filmés.
Cette formule sera-t-elle efficace ? C’est la question que je me pose. Contrairement à une émission hebdomadaire, la lecture d’un site régulièrement alimenté et agrémenté de vidéos est une activité chronophage. Mon expérience personnell, c’est parfois lire en diagonale et très souvent ne pas consulter les vidéos . Ca n’est pas forcément pratique quand on est au boulot pendant la pause déjeuner. Quant à la maison, l’internet n’est pas une activité qu’on peut partager comme la télé. Pas évident de s’assoir à deux devant l’écran pour lire et cliquer.
Quoi qu’il en soit, je souhaite bonne chance à ASI dont je me félicite du retour et de l’audace à relver le défi du passage à l’internet.
Ben j’ai failli louper le passage de Frustration au Gibus le 12/09/2007
…qui sera aussi à la Loco le 19/09 , puis à Clermont-Ferrand et à Saint-Etienne en octobre
OMFG il semblerait que Krosoft prépare un HUD pour voiture :
Microsoft travaille actuellement sur un système HUD, ou “affichage tête haute” destiné aux automobiles.
[Un tel système] offrirait au conducteur la possibilité de connaître les paramètres qui lui sont les plus utiles sans quitter la route du regard. On pense bien entendu à la vitesse du véhicule, au régime moteur, ainsi qu’aux indications GPS ou à d’éventuelles alertes sur le trafic routier.
Mais quand on s’appelle Microsoft, on ne s’arrête pas là… Aussi, les concepteurs de la firme de Bill Gates ont décidé d’intégrer diverses activités annexes, qui pourraient très bien transformer notre voiture en bureau nomade…
Ca risque d’être lulz en cas de Blue Screen Of Death à 130 sur l’autoroute…
Warren Ellis a annoncé le week-end dernier lors du San Diego Comic-Con qu’il remplacerait Joss “Buffy” Whedon au scénario d’Astonishing X-Men. John Cassaday passera quant à lui les crayons à Simone Bianchi.
Los du “run” de Joss Whedon, Astonishing s’est fait remarquer pour ses dates de publication calamiteuses et son rythme plutôt gastéropédestre. Pourtant, Astonishing reste, avec le X-Factor de Peter David, mon titre X préféré. En bon fanboy, Whedon est parvenu faire du X-men old school et moderne à la fois. Son art de la réplique est un vrai régal et les dessins de Cassaday surprennent par leur beauté.
Il fallait dont une pointure pour remplacer Whedon, ce sera Ellis. En grand amateur du scénariste britannique, je devrais être comblé. Pourtant, il me semble que depuis quelques mois, victime de son succès ou de son besoin de payer son ardoise au pub, celui-ci peine à livrer à temps ses scénarios. Que devient Fell ? Newuniversal ? Desolation Jones ? Disparus des catalogues sans plus de cérémonie. Et pourtant, Ellis prévoit une pléthore de titres chez Avatar (dont Doktor Sleepless, j’en reparlerai peut-être) sans oublier ses articles hebdomadaires pour Reuters ou SuicideGirls.
Alors j’ai envie de dire : 24 mois de Warren Ellis sur Astonishing, ça roxe ta face de geek. Mais en même temps, montrer un peu de respect au le lecteur en terminant les autres séries ne ferait pas de mal.
D’ailleurs, quelqu’un a des nouvelles de WildCATS #2 (Grant Morrison / Jim Lee) prévu pour… décembre 2006 ?
Ca y est, j’ai achevé Harry Potter and the Deathly Hallows. La saga est terminée. Il n’aura pas été facile d’éviter les spoilers. On croit avoir déjoué les clics révélateurs sur l’internet quand, au détour de la vraie vie, un lecteur du Parisien (spoilers) menace de vous livrer son avis sur la fin d’un livre qu’il n’a pas lu…
Sans dévoiler l’histoire, on retrouve ici la même structure que dans Order of Phoenix et Half-Blood Prince : les pages passent et pourtant le but ne semble pas se rapprocher. Puis dans les 200 dernières pages, tout s’accélère, les éléments de l’intrigue semés dans les 6 volumes précédents s’organisent en un final retentissant. Et il devient très difficile de se retenir de tout lire d’une traite !
C’est l’exploit de Deathly Hallows, réunir et expliquer de manière élégante une quantité impressionnante de questions laissées en suspens. Mais c’est également un livre qui fait frémir le lecteur qui, sachant que la guerre ne se fera pas sans pertes, doit se tenir prêt à chaque page à voir souffrir l’un des héros. L’humour et l’ironie qu’avaient acquis les personnages en grandissant a quasiement disparu. Le règne de Voldemort est cruel et terrifiant, les héros doivent d’abord lutter contre la peur et le désespoir.
Le lecteur attentif pourra trouver quelques erreurs de continuité. J’ai entre autre trouvé crispant que le “Put-Outer” devienne un “Deluminator” sans plus de cérémonie. J’aurais également apprécié que l’auteur évite la facilité scénaristique du chapitre “King’s Cross”. Quant à l’épilogue, son style jure beaucoup trop à mon avis avec le reste du livre…
Il reste que Deathly Hallows passionnera les amateurs de la série. Les autres deveront au moins reconnaitre l’adresse avec laquelle J.K. Rowling parvient à conclure cette saga.
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